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Le foie et les reins: la piroplasmose

 

Un cas particulier illustre bien les nécessités de soutien du travail du foie et des reins: la piroplasmose. La piroplasmose est une maladie parasitaire transmise par les tiques. D’abord connue que dans le sud, la maladie s’est maintenant répandue dans presque toute la France.
Le parasite, dont il existe deux espèces: Babesia caballi & Babesia equi, pénètre dans les globules rouges et les détruit en s’y multipliant. Suivant les capacités de réaction du système immunitaire du cheval, la maladie s’exprime sous une forme aiguë, subaiguë ou chronique. La maladie provoque des réactions de type allergique dont les conséquences peuvent persister et laisser des séquelles fâcheuses.
La forme chronique est souvent difficile à distinguer d’autres maladies, les symptômes sont flous et inconstants. Un cheval peut être bien pendant des mois et tout d’un coup avoir une baisse d’état et de performance. Une prise de sang ne donne pas toujours une explication. Mieux vaut éviter cette situation en appelant le vétérinaire tout de suite, aux premiers doutes de “piro”.

La forme aiguë :
Lors de la forme aiguë, le cheval présente une fièvre soit continue (Babesia caballi), soit intermittente (Babesia equi). L’animal est très abattu et manque d’appétit. Dès la constatation de ces symptômes, afin de limiter les risques au maximum, il convient de consulter le vétérinaire sans attendre que les muqueuses - oculaires et buccales - ne prennent une coloration jaune. Au cours de l’évolution de la maladie, on observe généralement l’installation d’un ictère ainsi que des oedèmes des membres. Un grand nombre de globules rouges est détruit par le parasite ce qui se traduit par une anémie, le transport de l’oxygène par le sang s’effectue mal, l’hémoglobine contenue dans les globules est libérée dans le flux circulatoire. Ce pigment est alors un déchet qui doit être éliminé par les reins et l’on constatera une coloration rouge à brune de l’urine.
Le traitement du vétérinaire visera à éliminer les parasites à l’aide d’un piroplasmicide. L’organisme du malade devra ensuite se débarrasser des déchets résultants de la destruction des parasites et des globules rouges ainsi que des résidus des médicaments utilisés. Tout ceci, associé à l’anémie est à l’origine d’une importante surcharge des organes vitaux: foie, reins, cœur et poumons.
Même traité rapidement, le cheval risque de rester porteur, c’est à dire que, à son tour, il peut infecter des tiques lorsqu’elles prennent du sang. Il est alors difficile ou quasi impossible de se débarrasser de cette maladie.
Notre conseil “naturel”:
en complément du traitement instauré par le vétérinaire, vous pourrez aider au rétablissement en apportant des produits naturels à visée rénale, hépatique ou sanguine. Pour cela, faites au cheval une cure d'Equi’drink Drainage associé à une cure de Biotics pour équilibrer sa flore intestinale. N’oubliez pas d’augmenter la résistance générale de votre cheval à l’aide de compléments alimentaires tels que: Equi’drink Immunotonic,ou Equi-sénior.